Ordre du jour

La Journée internationale de la réduction des risques de catastrophe a lieu tous les 13 octobre. C'est l'occasion de reconnaître les progrès réalisés dans la réduction des risques de catastrophe et des pertes de vies, de moyens de subsistance et de santé. Pour l'année 2021, le thème central est « La coopération internationale pour les pays en développement afin de réduire leurs risques de catastrophe et leurs pertes dues aux catastrophes ».

Les phénomènes météorologiques extrêmes, les tremblements de terre, les tsunamis, ainsi que les pandémies et autres dangers d'origine humaine posent des défis constants aux pays et aux communautés. Les TIC contribuent à garantir que les communications sont disponibles tout au long du cycle de gestion des catastrophes, pour soutenir les activités de préparation et de réponse sur le terrain. Une approche multipartite est vitale pour réaliser ces efforts. De plus, la fourniture d'informations vitales avant, pendant et après les catastrophes réduit la vulnérabilité des communautés à risque et augmente leur résilience face aux catastrophes.

Cette session rassemble des experts du gouvernement, des organisations internationales, des universités et des partenaires pour célébrer la Journée internationale des Nations Unies pour la réduction des risques de catastrophe et pour renforcer l'engagement à assurer un avenir plus sûr et durable. Il mettra l'accent sur l'importance des collaborations et des partenariats mondiaux pour résoudre les problèmes environnementaux, conformément à la ligne d'action C7 du SMSI : l'environnement électronique et les objectifs de développement durable (ODD).

Les technologies de l'information et de la communication (TIC) jouent un rôle important dans la gestion des catastrophes. Un flux d'informations rapide et efficace est important pour la prise de décision, pour l'alerte précoce et l'alerte et pour la coordination et l'articulation efficaces des efforts de réponse au sein de toutes les parties prenantes, y compris les communautés à risque ainsi que celles travaillant dans la gestion des catastrophes, des premiers intervenants aux hauts fonctionnaires. Cependant, une gestion efficace des catastrophes ne dépend pas seulement de la mise en place d'infrastructures et de services de télécommunications résilients, mais également de stratégies et de plans nationaux garantissant un partage efficace et opportun des informations à tous les niveaux de gouvernement, au sein des communautés touchées et entre les organisations publiques et privées.

Les catastrophes ont des effets dévastateurs sur la vie et les moyens de subsistance des personnes, et en termes de pertes économiques. Les données montrent qu'en 2020, les catastrophes ont eu un impact majeur dans toutes les régions du monde en raison de la pandémie de COVID-19. En 2020, les pays ont été contraints de mener toute la gamme de la gestion des catastrophes, y compris la planification, l'atténuation, la réponse et la récupération, tout en tenant compte de diverses préoccupations liées au COVID-19. Cela a fait de chaque catastrophe un événement en cascade, où le déploiement des intervenants et des fournitures de secours était exponentiellement plus complexe que jamais. Les pays les moins avancés (PMA) et les petits États insulaires en développement (PEID) ont été particulièrement plus vulnérables à ces effets, raison pour laquelle il est nécessaire de redoubler d'efforts pour réduire les impacts négatifs des risques naturels et des pandémies. Alors maintenant, la prochaine étape est de s'assurer que ces deux niveaux sont sécurisés et que les informations – une fois arrivées dans les centres médias – pourraient être correctement gérées et transformées en instructions utiles et significatives.