Document :

UIT-SG�CL� Contribution� 79

Titre :

Contribution de l'Inde (R�publique de) - participation des membres du secteur priv� et des milieux universitaires aux secteurs de l'UIT, l'accent �tant mis sur les PMA, les PDSL, les PEID et les pays ayant des besoins sp�ciaux

Re�u le :

2022-03-08

Source :

India (Republic of)

Groupes destinataires :

ADM

R�union :

2022-03-21

Disponibilit� :

Document public

R�sum� :

L'UIT et ses Membres s'emploient � renforcer le dialogue avec les universit�s et le secteur priv� et leur participation aux activit�s des Secteurs dans le cadre des projets, initiatives et programmes men�s par l'UIT aux niveaux national, r�gional et mondial. Il s'agit d'un domaine prioritaire pour les Membres. Si on observe une am�lioration de la participation du secteur priv� et des universit�s de ces cat�gories de pays (PMA, PDSL, PEID, pays ayant des besoins sp�ciaux) aux activit�s de l'UIT, leur pr�sence en qualit� de Membre de Secteur et d'Associ� accuse encore un d�calage important.
Sur la base de contributions de la CMDT, du Conseil, d'autres conf�rences, etc., la Conf�rence de pl�nipotentiaires (PP-18) a d�cid� d'encourager les petites et moyennes entreprises (PME) � participer en tant qu'Associ� aux travaux des Secteurs de l'Union en fixant des niveaux de contribution financi�re moins �lev�s pour les PME par rapport aux autres membres du secteur priv�, sous r�serve d'un examen r�gulier par le Conseil. D'autres r�solutions de la Conf�rence de pl�nipotentiaires, de la CMDT et de l'AMNT soulignent cette priorit� relative aux PMA, aux PDSL, aux PEID et aux pays ayant des besoins sp�ciaux.
En analysant les donn�es relatives aux Membres de l'UIT, on observe:
o Que la repr�sentation du secteur priv� et des universit�s des PMA, des PDSL, des PEID et des pays ayant des besoins sp�ciaux parmi les entreprises et les �tablissements universitaires membres est limit�e. C'est le cas davantage pour les Secteurs T et R (des entreprises/�tablissements universitaires peuvent faire partie des d�l�gations nationales, ce qui est difficile � quantifier de prime abord).
o Qu'un effort accru serait possible pour compl�ter l'accompagnement actuel du secteur priv� et des universit�s de ces pays afin d'am�liorer leur participation.